Volodymyr Zelensky est attendu jeudi à Bruxelles au siège de l'Alliance atlantique, où il aura l'occasion de détailler son "plan de victoire". Il est également invité à un sommet avec les dirigeants des 27 États membres de l'Union européenne.

Lors de la présentation mercredi de son "plan de victoire" au Parlement ukrainien, Volodymyr Zelensky a exclu de céder du territoire ou d'accepter un gel de la ligne de front pour mettre fin à la guerre avec la Russie. Moscou a immédiatement rejeté ce plan, qui sera à l'agenda des discussions de la réunion ministérielle de l'Otan qui débute jeudi à Bruxelles, accusant le président ukrainien de "pousser" l'Alliance atlantique à "entrer en conflit direct" avec la Russie.

Les services de sécurité russes (FSB) ont annoncé lundi 7 octobre l'ouverture d'une nouvelle enquête contre des journalistes étrangers pour avoir franchi "illégalement" la frontière russe depuis l'Ukraine afin de réaliser des reportages dans la partie occupée de la région de Koursk.

Une personne a été blessée et des entrepôts et des camions de marchandises ont été endommagés.

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov visite cette semaine quatre pays africains. Au coeur de ce déplacement, des habituelles attaques frontales contre l’influence occidentale sur le continent.

Le président ukrainien a été invité à la Maison-Blanche par Joe Biden. Il rencontrera également le chef républicain de la Chambre des représentants, dans l’espoir de débloquer au Congrès l’aide financière promise à son pays.

Alors que le Conseil européen doit se réunir jeudi et vendredi à Bruxelles pour décider d’une enveloppe de 50 milliards d’euros à l’Ukraine, ainsi que de sa demande d’adhésion à l’Union européenne, Viktor Orban a d’ores et déjà annoncé qu’il mettrait son veto à ces propositions. Une position politique, mais aussi économique.

Aux États-Unis, les Républicains bloque le vote d'une nouvelle enveloppe d'aide à l'Ukraine et à Israël et réclament en échange un durcissement de la politique migratoire

Le président russe Vladimir Poutine a annoncé vendredi qu'il serait candidat à un nouveau mandat à la tête de la Russie, son cinquième. Le scrutin doit se dérouler sur trois jours, du 15 au 17 mars 2024.

Les États-Unis ont annoncé, mardi, avoir réussi à neutraliser Snake, un logiciel malveillant qui était utilisé par les cyber-espions russe du FSB depuis une vingtaine d’années. Il a longtemps été considéré comme l’un des outils les plus sophistiqués dans l’arsenal de Moscou pour s’emparer des secrets de l’Occident.

Alors que des enveloppes sont bloquées politiquement aux Etats-Unis et dans l’UE, le soutien à Kiev a déjà baissé de 90 % en un an, selon un rapport de l’Institut Kiel.

(Moscou) L’armée russe avance « dans toutes les directions » en Ukraine, a assuré vendredi le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, ses forces accentuant la pression sur le front oriental après l’infructueuse contre-offensive estivale ukrainienne.

Les troupes ukrainiennes multiplient les incursions sur la rive gauche du fleuve, occupée depuis les premiers jours de la guerre par les forces russes, et tentent de s’y ménager une tête de pont.

Missions diplomatiques, partenariats économiques et militaires, interventions de forces spéciales : Kiev veut contrecarrer les ambitions russes, notamment en Afrique subsaharienne.

Le pays d'Asie centrale où s'est rendu Emmanuel Macron cette semaine est courtisé pour ses ressources minéralogiques, notamment l'uranium et les terres rares. Les entreprises françaises misent aussi sur la santé, l'agriculture, les transports ou encore l'énergie.

Deux humoristes russes se faisant passer pour des membres de l’Union africaine ont piégé la Première ministre italienne. Cela donne un échange sans grande retenue diplomatique.

Nikolaï Goltsev, 37 ans, et son épouse, Kristina Puzyreva, 32 ans, tous deux Canadiens et Russes, ainsi que Salimdzhon Nasriddinov, 52 ans, qui a la double nationalité russe et tadjike et qui réside à Brooklyn ont été arrêtés aux Etats-Unis.

Le président russe dénonce des « tentatives de pogroms » menées par les Ukrainiens, « sous la houlette de leurs patrons occidentaux ».