Pour appâter leurs proies, les cybercriminels se servent des applications de messagerie cryptée comme WhatsApp, Signal ou Telegram. Ils dupent leurs victimes sur leur identité grâce à des techniques élaborées et permises par des failles de sécurité.
Vous avez sûrement vécu ce scénario ces derniers mois. « Salut, tu aurais 5 minutes pour parler ? » nous aborde un numéro inconnu sur WhatsApp. Parfois, c’est un membre de notre répertoire qui se comporte bizarrement et nous envoie un lien douteux. Utilisée par près de 3 milliards de personnes, l’application attire un public bien plus large que les simples réseaux sociaux où chaque génération possède ses habitudes.
On y trouve des groupes familiaux, de collègues ou de voisins. Les escrocs ont flairé le potentiel pour y mener des arnaques d’un faible niveau technique mais à l’efficacité éprouvée grâce un effet de masse.
<p>Une juge californienne a estimé mardi que le patron de Tesla, SpaceX, X et xAI (start-up rivale d'OpenAI) n'a pas apporté de « preuves suffisantes »...