Cette opération est lancée alors qu'Israël n'a pas répondu à la proposition des médiateurs sur une trêve.
Cette opération est lancée alors qu'Israël n'a pas répondu à la proposition des médiateurs sur une trêve.
Les sanctions américaines visent également un juge français et deux procureurs de la CPI.
Un projet clé de construction en Cisjordanie occupée – le quartier E1 – a été approuvé, mercredi, par Israël. "L'administration civile a approuvé la planification pour la construction de ce quartier" qui coupera le territoire palestinien en deux, empêchant la création d'un éventuel État palestinien", s'est félicité le maire de la colonie israélienne voisine.
La nouvelle proposition a été soumise ce lundi par les médiateurs égyptien et qatari. Elle prévoit une trêve de 60 jours et une libération des otages en deux étapes.
Le chef de l'armée israélienne a approuvé le nouveau plan des opérations militaires "à venir à Gaza", selon un communiqué publié mercredi. Depuis deux semaines, des tensions étaient apparues au grand jour entre le chef d'état-major et le gouvernement de Benjamin Netanyahu à propos de la suite des opérations militaires dans l'enclave.
Sourd à l’avalanche de critiques suscitées par son plan de conquête de Gaza, le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a assuré dimanche devant la presse internationale que l’État hébreu n’avait “pas d’autre choix” que de s’emparer du territoire, “meilleur moyen” selon lui de “terminer la guerre” avec le Hamas.
Le plan est contesté à la fois par l'extrême droite au sein du gouvernement que par les familles des otages.
Israël fait face à une émigration accrue depuis "l'après 7-Octobre", et les départs n'ont pas été compensés par les entrées sur le territoire en 2024. Les Israéliens qui choisissent de partir ont tendance à être plus diplômés que la moyenne nationale. Enlisé dans la guerre, l'État hébreu est-il menacé par une fuite de "ses cerveaux" ?
Beyrouth (Liban) (AFP) – Le gouvernement ais a chargé mardi l’armée de préparer un plan pour désarmer le Hezbollah d’ici la fin de l’année, une mesure sans précédent depuis la fin de la guerre civile.
Un organisme international de surveillance de la faim soutenu par l'ONU a affirmé mardi que le "pire scénario de famine est en cours à Gaza", où Israël a autorisé l'entrée de nouveaux camions d'aide humanitaire jugés à ce stade trop peu nombreux par les agences internationales.
Sous la pression de la communauté internationale, l’État hébreu a annoncé dimanche avoir livré aux Gazaouis sept lots d’aide contenant de la farine, du sucre et des conserves. Israël a aussi précisé qu’il allait mettre en place des couloirs humanitaires pour assurer le passage sécurisé des convois de l’ONU. Tsahal met aussi en place une “pause tactique” dans ses opérations militaires dans certaines zones de la bande de Gaza.
Alors que Gaza, ravagée par 21 mois de guerre, est menacée de famine, un porte-parole de Downing Street a annoncé samedi que le Royaume-Uni se préparait à larguer de l'aide humanitaire à la population de Gaza qui en a "désespérément besoin". La veille, Paris, Berlin et Londres ont exhorté Israël à "lever immédiatement les restrictions sur l'acheminement de l'aide".
La France va reconnaître l'État de Palestine, a annoncé, jeudi, le président Emmanuel Macron sur ses réseaux sociaux. Il a déclaré qu'il en ferait l'"annonce solennelle" en septembre lors de l'Assemblée générale des Nations unies. Au moins 142 pays ont déjà reconnu un État palestinien. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a regretté une décision qui "récompense la terreur", tandis que le Hamas salue une "étape positive".
Deux ans après l'avoir réintégrée, les États-Unis ont annoncé mardi se retirer de nouveau de l'Unesco, organisation onusienne pour l'éducation, la science et la culture, estimant qu'elle fait preuve de parti pris contre Israël et promeut des causes "clivantes".
Alors que 25 pays, dont la France, appellent à la fin immédiate de la guerre dans la bande de Gaza, l'armée israélienne a lancé lundi une offensive terrestre dans le centre de la petite enclave palestinienne. Selon le Bureau des affaires humanitaires des Nations unies (Ocha), entre 50 000 et 80 000 personnes se trouvaient lundi dans le secteur.
Après les bombardements récents de l’État hébreu sur Damas, la presse progouvernementale turque craint une forme de partition de la Syrie et s’inquiète des aventures guerrières répétées d’Israël dans la région.
Jérusalem (AFP) – Des discussions indirectes difficiles entre Israël et le Hamas sur un cessez-le-feu sont entrées lundi dans leur deuxième semaine, le président américain Donald Trump exprimant l'espoir d'un accord proche sur une trêve à Gaza meurtrie par de nouveaux bombardements israéliens.
Le président américain reçoit, ce lundi 7 juillet, le Premier ministre israélien afin de trouver une voie vers la fin de la guerre dans l’enclave palestinienne, où l’ONU a mis en garde la semaine dernière contre un «effondrement total des opérations humanitaires».