Le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine se sont rencontrés en Alaska, en août dernier, pour discuter de paix en Ukraine.
Le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine se sont rencontrés en Alaska, en août dernier, pour discuter de paix en Ukraine.
Secoués par la guerre hybride lancée par la Russie, les leaders européens demandent à la Commission une feuille de route précise vers l'objectif d'une autonomie de défense d'ici à 2030.
Donald Trump a fustigé un pays incapable de gagner rapidement sa guerre en Ukraine comme toute « vraie puissance militaire » qui se respecte. Moscou entend bien lui prouver le contraire.
Si Moscou intensifie ses attaques contre les réseaux gaziers et les centrales électriques ukrainiennes avant l'arrivée de l'hiver, Kiev riposte en accélérant le rythme des frappes sur les installations pétrolières russes. Objectif : enrayer la machine de guerre et déstabiliser l'économie russe.
Copenhague renforce sa dissuasion militaire en misant sur des systèmes modernes pour répondre à la menace russe.
Une spectaculaire parade rassemblant 10 000 militaires et 50 000 spectateurs a eu lieu à Pékin mercredi 3 septembre. Prêchant la paix dans son discours, Xi Jinping a aussi conçu le défilé comme une illustration de la puissance de feu de son armée.
Après son apparition au sommet russo-américain du 15 août, en Alaska, vêtu d’un sweat portant l’inscription “CCCP”, soit “URSS” en russe, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclenché une tendance inattendue. À Tcheliabinsk, en Sibérie, le petit label russe qui commercialise le modèle croule sous les commandes, jusqu’aux États-Unis.
es chefs militaires de l'Otan ont discuté mercredi des garanties de sécurité à apporter à l'Ukraine, thème en vogue actuellement bien qu'il soit conditionné à un arrêt des combats.
Le président ukrainien s’apprête à rencontrer Donald Trump, qui veut pousser Kiev à des concessions territoriales.