LE POINT SUR LA SITUATION - Emmanuel Macron et Keir Starmer coprésideront le jeudi 10 juillet une réunion des «pays volontaires» depuis le Royaume-Uni, a annoncé l’Élysée ce vendredi.
LE POINT SUR LA SITUATION - Emmanuel Macron et Keir Starmer coprésideront le jeudi 10 juillet une réunion des «pays volontaires» depuis le Royaume-Uni, a annoncé l’Élysée ce vendredi.
L’intervention américaine en Iran suscite une certaine amertume dans les médias ukrainiens, qui s’interrogent sur ce qu’ils considèrent comme une politique délibérée de deux poids, deux mesures. Depuis le début de la guerre en Ukraine, Washington a toujours refusé de mener des frappes en Russie.
Privé de compétitions internationales depuis l’invasion de l’Ukraine, le football russe continue de tourner, mais à l’écart du monde. Le média en exil russe “Meduza” raconte les difficultés d’un sport affaibli par la fuite des talents étrangers, la baisse du niveau de jeu et une dépendance croissante aux paris sportifs.
Ce missile balistique développé en Ukraine a terminé avec succès les tests de combat après avoir détruit une installation russe à une distance de près de 300 km.
Après les attaques menées contre ses aérodromes militaires, Moscou durcit le ton et accuse Kiev de sabotage terroriste. Dans un entretien avec Donald Trump, décrit comme “compréhensif” par la presse officielle russe, Vladimir Poutine promet une riposte majeure.
DÉCRYPTAGE - Alors que les négociations patinent, les frappes visant les civils se multiplient. Sur le front, Kiev montre des signes inquiétants d’essoufflement.
Le président américain a annoncé lundi, à l’issue d’un entretien avec son homologue russe, que la Russie et l’Ukraine allaient entamer “immédiatement” des pourparlers en vue d’un cessez-le-feu, tout en se montrant réticent à l’idée d’accentuer la pression sur Moscou. La presse européenne y voit le signe d’un désengagement de Washington dans le dossier ukrainien.
Au lendemain de la démonstration de force diplomatique de Vladimir Poutine sur la place Rouge, les dirigeants européens se sont réunis à Kiev pour exiger de la Russie un cessez-le -feu inconditionnel de trente jours et menacé de nouvelles sanctions économiques.
Vladimir Poutine et une vingtaine de chefs d'État, dont le Chinois Xi Jinping et le Brésilien Lula, assistent vendredi à une grande parade militaire sur la place Rouge, à Moscou, pour les 80 ans de la victoire sur l'Allemagne nazie. Un événement commémoré pour la quatrième année consécutive dans l'ombre du conflit en Ukraine.
Laissé les mains libres par l’administration américaine de poursuivre sa guerre en Ukraine, le président russe célèbrera le 9 mai la victoire sur l’Allemagne nazie entourée de nombreux chefs d’État étrangers. Au programme, la présence du chinois Xi Jinping et une posture résolument anti-occidentale.
La Corée du Nord a pour la première fois reconnu avoir envoyé des troupes en Russie. Vladimir Poutine a, de son côté, remercié lundi Kim Jong-un pour "l'exploit" des combattants nord-coréens qui ont lutté contre les forces ukrainiennes dans la région russe de Koursk, que Moscou affirme avoir entièrement "libérée".
D’après la présidence russe, Poutine a annoncé la trêve du 8 au 10 mai « pour des raisons humanitaires ».
Trump entend conclure dans les jours à venir une «paix», qu’il désigne comme étant «entre Kiev et Moscou», puisqu’il estime que Washington, ses satellites et l’OTAN sont ici neutres. Pour Karine Bechet-Golovko, après l’échec attendu de la trêve pascale, la Russie doit sortir de ce jeu macabre : le temps de la négociation n’est pas encore arrivé.
Depuis le retour au pouvoir des talibans, en août 2021, Moscou a entrepris de normaliser ses liens avec le nouveau gouvernement afghan, qu’il perçoit comme un potentiel partenaire économique et dans la lutte contre le terrorisme.
Dimanche 13 avril, la ville de Soumy a subi l’une des attaques russes les plus meurtrières de ces derniers mois. Loin de condamner Moscou, le président américain, Donald Trump, a notamment évoqué une “erreur” de la Russie. En Ukraine, l’indignation est palpable.
L’envoyé américain pour l’Ukraine, l’ex-général Keith Kellogg, a suggéré une partition de l’Ukraine sur le modèle “de Berlin après la Seconde Guerre mondiale” pour mettre fin au conflit avec la Russie, révèle “The Times”. En déplacement en Russie, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump aurait de son côté proposé de donner “la propriété” de quatre régions ukrainiennes à Moscou.