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Pour la première fois depuis quarante-huit ans, le monarque britannique a prononcé le discours du trône au Parlement canadien, énonçant les priorités du gouvernement et réaffirmant la souveraineté du “Grand Nord” convoité par Donald Trump. Aux yeux de cette éditorialiste québécoise, c’était une piètre idée du nouveau Premier ministre, Mark Carney, alors que la plupart des Canadiens ne se reconnaissent plus dans cette institution.

Le président américain a annoncé lundi, à l’issue d’un entretien avec son homologue russe, que la Russie et l’Ukraine allaient entamer “immédiatement” des pourparlers en vue d’un cessez-le-feu, tout en se montrant réticent à l’idée d’accentuer la pression sur Moscou. La presse européenne y voit le signe d’un désengagement de Washington dans le dossier ukrainien.

Pour marquer les cent premiers jours du second mandat de Trump, l’hebdomadaire “The New Yorker” n’a pas lésiné sur le symbolisme. La statue de la Liberté placée à l’isolement dans une cellule illustre la couverture de son dernier numéro.

Le 100e jour au pouvoir des présidents américains est traditionnellement celui du premier bilan. La comparaison entre le Donald Trump de 2017 et celui de 2025 montre une continuité. Fidèle à sa méthode de saturation de l'espace médiatique, le milliardaire aboie sur la scène internationale tandis que sur le plan intérieur, il flirte avec les limites de la légalité.

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