Des Palestiniens exilés à Beyrouth se disent toujours attachés au droit au retour sur leurs terres.
Moyen Orient
Des Palestiniens exilés à Beyrouth se disent toujours attachés au droit au retour sur leurs terres.
L'arsenal nucléaire du Pakistan protège désormais l'Arabie saoudite, a assuré dimanche un analyste proche du gouvernement saoudien, rappelant que le royaume avait largement financé le programme nucléaire d'Islamabad. Un accord de défense mutuelle a été signé à Riyad quelques jours après une frappe israélienne contre des dirigeants du Hamas au Qatar voisin.
Au lendemain de l’attaque d’une station d’autobus à Jérusalem-Est qui a fait six morts côté israélien, Tsahal appelle ce mardi 9 septembre, comme Benyamin Nétanyahou, «tous les habitants de la ville» de l’enclave palestinienne à évacuer.
La nouvelle proposition a été soumise ce lundi par les médiateurs égyptien et qatari. Elle prévoit une trêve de 60 jours et une libération des otages en deux étapes.
Le plan est contesté à la fois par l'extrême droite au sein du gouvernement que par les familles des otages.
Un organisme international de surveillance de la faim soutenu par l'ONU a affirmé mardi que le "pire scénario de famine est en cours à Gaza", où Israël a autorisé l'entrée de nouveaux camions d'aide humanitaire jugés à ce stade trop peu nombreux par les agences internationales.
Sous la pression de la communauté internationale, l’État hébreu a annoncé dimanche avoir livré aux Gazaouis sept lots d’aide contenant de la farine, du sucre et des conserves. Israël a aussi précisé qu’il allait mettre en place des couloirs humanitaires pour assurer le passage sécurisé des convois de l’ONU. Tsahal met aussi en place une “pause tactique” dans ses opérations militaires dans certaines zones de la bande de Gaza.
Alors que Gaza, ravagée par 21 mois de guerre, est menacée de famine, un porte-parole de Downing Street a annoncé samedi que le Royaume-Uni se préparait à larguer de l'aide humanitaire à la population de Gaza qui en a "désespérément besoin". La veille, Paris, Berlin et Londres ont exhorté Israël à "lever immédiatement les restrictions sur l'acheminement de l'aide".
La France va reconnaître l'État de Palestine, a annoncé, jeudi, le président Emmanuel Macron sur ses réseaux sociaux. Il a déclaré qu'il en ferait l'"annonce solennelle" en septembre lors de l'Assemblée générale des Nations unies. Au moins 142 pays ont déjà reconnu un État palestinien. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a regretté une décision qui "récompense la terreur", tandis que le Hamas salue une "étape positive".
Alors que 25 pays, dont la France, appellent à la fin immédiate de la guerre dans la bande de Gaza, l'armée israélienne a lancé lundi une offensive terrestre dans le centre de la petite enclave palestinienne. Selon le Bureau des affaires humanitaires des Nations unies (Ocha), entre 50 000 et 80 000 personnes se trouvaient lundi dans le secteur.
Après les bombardements récents de l’État hébreu sur Damas, la presse progouvernementale turque craint une forme de partition de la Syrie et s’inquiète des aventures guerrières répétées d’Israël dans la région.
Jérusalem (AFP) – Des discussions indirectes difficiles entre Israël et le Hamas sur un cessez-le-feu sont entrées lundi dans leur deuxième semaine, le président américain Donald Trump exprimant l'espoir d'un accord proche sur une trêve à Gaza meurtrie par de nouveaux bombardements israéliens.
Le président américain reçoit, ce lundi 7 juillet, le Premier ministre israélien afin de trouver une voie vers la fin de la guerre dans l’enclave palestinienne, où l’ONU a mis en garde la semaine dernière contre un «effondrement total des opérations humanitaires».