L'armée israélienne renforce son emprise sur le nord de Gaza, que des milliers de Palestiniens fuient vers le sud dans l'espoir de trouver un refuge, après plus d'un mois de bombardements et d'un siège qui les prive de nourriture et d'eau.
Israel & Palestine
L'armée israélienne renforce son emprise sur le nord de Gaza, que des milliers de Palestiniens fuient vers le sud dans l'espoir de trouver un refuge, après plus d'un mois de bombardements et d'un siège qui les prive de nourriture et d'eau.
Le Premier ministre israélien a déclaré le 6 novembre que son pays aurait la « responsabilité globale de la sécurité » de la bande de Gaza pour une durée indéterminée, une fois que la guerre avec le Hamas aura pris fin, rejetant à nouveau la possibilité d’un cessez-le-feu.
Une d’elles est déposée pour crime contre l’humanité en lien avec les attaques lancées le 7 octobre par l’organisation terroriste.
Rappelant les ardeurs occidentales à dénoncer les frappes russes en Ukraine, le représentant russe aux Nations unies a fustigé le «deux poids deux mesures» face aux bombardements massifs dans la bande de Gaza mené par l'armée israélienne.
La branche militaire du Hamas a averti mardi Israël que la bande de Gaza deviendrait « un cimetière et un bourbier » pour ses soldats, et promis d’infliger au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu une défaite « qui sonnera la fin de sa carrière politique ».
Mardi, des « combats féroces […] en profondeur dans la bande de Gaza » opposent les soldats israéliens au Hamas, a affirmé l’armée israélienne dans un communiqué. Elle a ajouté que des dizaines de combattants palestiniens avaient été tués au cours des dernières heures.
Mis en danger par les frappes israéliennes, contraints de fuir avec leurs familles, sans accès à l’eau ni à l’électricité, les journalistes restés à Gaza tentent d’informer dans des conditions très précaires et au péril de leur vie. Avec 19 journalistes tués depuis le début de la guerre, l’enclave est devenue le lieu le plus dangereux pour la profession.