Donald Trump a annoncé, mardi, une "baisse substantielle" des droits de douane avec la Chine, ce qui a fait rebondir les Bourses asiatiques. Le président américain a également assuré qu'il ne limogerait pas le président de la Fed, malgré de virulentes critiques émises à son encontre.
Le géant américain de la tech est freiné dans sa course à l’intelligence artificielle. L’administration Trump a restreint ses exportations de puces avancées vers la Chine et menace ses importations depuis l’Asie.
La Chine continue à riposter à l’offensive américaine sur les droits de douane et qualifie de « farce » la campagne américaine de surtaxe.
Après les droits de douane imposés au monde par Donald Trump et la réplique de la Chine, les Bourses continuent de reculer lundi, laissant craindre un de ces krachs qui ont marqué l'histoire économique des 100 dernières années.
Les annonces de Donald Trump ont secoué les marchés mondiaux, provoquant des réactions de la Chine et de l’UE. Une réunion des ministres du commerce extérieur de l’Union européenne est prévue lundi.
Si la France est moins exposée que ses voisins italien et allemand, les nouvelles taxes douanières que doit annoncer mercredi le président américain Donald Trump pourraient durement affecter certains secteurs stratégiques dont l’aéronautique, les spiritueux et le luxe, dans un contexte économique déjà difficile.
Tuberculose au Kenya, droits LGBTQI en Turquie, instruction pour les filles afghanes, soutien au journalisme indépendant… Partout dans le monde, des programmes risquent de disparaître après le gel de l’aide internationale des États-Unis.
Admiratrice de longue date de Donald Trump et de Vladimir Poutine, Marine Le Pen est aujourd’hui contrainte de nuancer ses propos sur les deux présidents pour prétendre à une “respectabilité républicaine”. Un aspect aussi crucial que délicat de la dédiabolisation de son parti en vue de la présidentielle de 2027, analyse le journal autrichien “Der Standard”.
Les Canadiens se préparent à subir les contrecoups des tarifs imposés depuis le 4 mars par les États-Unis. Des analystes concluent que les raisons invoquées par Trump pour déclencher la guerre commerciale – soit les migrants et le fentanyl – étaient un leurre et que l’on assiste à une politique d’extorsion semblable à celle que subit l’Ukraine.
Selon une enquête publiée par l'European Council on Foreign Relations, Washington est désormais perçu majoritairement comme un « partenaire nécessaire ». Une incitation, pour les gouvernements, à se montrer plus pragmatiques face à l'Amérique de Donald Trump, suggèrent les auteurs.