RENCONTRE - En l’espace d’un film, l’ancienne sauveteuse d’Alerte à Malibu est devenue une égérie du cinéma indépendant américain. Une revanche pour la quinqua, à qui l’image de la bimbo a longtemps collé à la peau.
Des plages de la Californie aux planches de Deauville. Invitée d’honneur du Festival du film américain de Deauville, Pamela Anderson est la sensation de cette 51e édition. Après avoir reçu le prix du Talent Award pour la surprenante résurgence de sa carrière, l’ancienne vedette d’Alerte à Malibu, devenue à 58 ans la coqueluche du cinéma d’auteur américain, a inauguré, samedi, sa cabine de plage. La comédienne canadienne, qui s’affiche désormais au naturel, avec un maquillage minimaliste, sur les tapis rouges, raconte au Figaro les ressorts de ce come-back magistral au goût de revanche pour celle longtemps réduite à son image de bimbo.
LEFIGARO.FR – Vous avez vendredi fait sensation lors de la cérémonie d’ouverture du Festival de Deauville en livrant un discours brutalement honnête sur votre surmédiatisation, sur les aspirations artistiques que vous avez dû taire. C’est rare dans le milieu.
Pamela Anderson. C’était un cri du cœur. Nous craignons trop de dire ce que nous ressentons. Lorsque…
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