Après les bombardements récents de l’État hébreu sur Damas, la presse progouvernementale turque craint une forme de partition de la Syrie et s’inquiète des aventures guerrières répétées d’Israël dans la région.
Après les bombardements récents de l’État hébreu sur Damas, la presse progouvernementale turque craint une forme de partition de la Syrie et s’inquiète des aventures guerrières répétées d’Israël dans la région.
Les manifestations se multiplient contre la condamnation d’Ekrem Imamoglu et l’arrestation de sa garde rapprochée. Dimanche, la ville et le pays se sont réveillés en état de choc. Des centaines d’étudiants ont été arrêtés.
Abdullah Ocalan, leader du groupe insurgé kurde, a appelé jeudi ses partisans à dissoudre l'organisation, mettant fin à quarante ans de lutte armée contre l'Etat turc. Cet appel enclenche un processus de paix, alors que le président Erdogan initie un nouveau tournant autoritaire.