Il y a dix ans naissait l’Accord de Paris, socle de l’action climatique mondiale. Une décennie plus tard, alors que s’ouvre la COP30 au Brésil, quel bilan peut-on faire de cette entente? En trois mots : essentielle, utile… mais insuffisante.
Certains peuvent affronter les températures hivernales vêtus d’un simple pull quand d’autres multiplient les couches. Des différences qui s’expliquent par plusieurs facteurs.
La 28e conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP28) a démarré en trombe, jeudi, avec une entente sur la création d’un fonds pour compenser les « pertes et préjudices » subis par les pays vulnérables, qui le réclamaient depuis 30 ans, et auquel le Canada contribuera.