Ce vote marque la fin de deux décennies de gouvernements de gauche dans un contexte de grave crise économique.
Bolivie
Ce vote marque la fin de deux décennies de gouvernements de gauche dans un contexte de grave crise économique.
La Paz (AFP) – Le gouvernement bolivien dénonce la prise en "otage" de 200 militaires par des partisans de l'ancien président Evo Morales qui protestent contre la "persécution judiciaire" de leur leader et exigent la démission du président Luis Arce.
L'ex-président bolivien Evo Morales a affirmé dimanche 27 octobre que "des hommes encagoulés" avaient tiré 14 coups de feu contre son véhicule et blessé son chauffeur, à Cochabamba, dans le centre de la Bolivie. "Des agents d'élite de l'État bolivien ont tenté de m'assassiner aujourd'hui", a-t-il écrit sur le réseau social X.