Alors que l'ONU a dénoncé lundi la "détention arbitraire" de Mohamed Bazoum, président nigérien renversé par la junte en juillet 2023, l'un de ses avocats a rappelé sur France 24 les conditions précaires dans lesquelles vivent le chef d'État et son épouse. Selon Reed Brody, même si les militaires bafouent le droit international, "un refus de se conformer à cette injonction de l'ONU aura des conséquences sur l'isolement de la junte".