Intelligence artificielle
La publication des résultats du géant de l’intelligence artificielle Nvidia remue les marchés boursiers.
Yann Le Cun, figure de l'IA et directeur du laboratoire Fair de Meta, s'apprêterait à quitter l'entreprise pour lancer sa start-up. Il défend une approche spécialisée, à l'opposé de la vision de superintelligence prônée par Mark Zuckerberg.
Nvidia vient de franchir la barre des 5.000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Les investisseurs ne semblent plus avoir de limites face au potentiel de l'intelligence artificielle générative.
Après des mois d'intenses négociations, Microsoft devient le premier actionnaire de la pépite américaine de l'IA, avec plus d'un quart du capital. OpenAI devrait enfin pouvoir changer de forme juridique et devenir une « entreprise normale ».
OpenAI est dans le collimateur, poursuivie en justice par la famille d’Adam Raine, un adolescent californien de 16 ans qui s’est suicidé fin avril après avoir conversé pendant des mois avec cet outil.
La plateforme a reconnu avoir modifié des vidéos courtes grâce à l'IA mais sans en informer les créateurs. Si YouTube parle d'un test limité, les utilisateurs dénoncent une atteinte à leur liberté de création.
La start-up chinoise rivale d’OpenAI aurait échoué à entraîner son nouveau modèle R2 avec les puces de Huawei, moins performantes que celles Nvidia. Selon le “Financial Times”, les déboires de DeepSeek illustrent les défis auxquels la Chine reste confrontée pour devenir autosuffisante en matière de technologie.
Le réseau social de Meta enregistre une croissance impressionnante de son nombre d'utilisateurs réguliers. L'application pourrait rapidement dépasser la fréquentation de son concurrent X.
Huit modèles de langage, dont ChatGPT, Grok et Deepseek, s’affrontent depuis mardi dans le premier tournoi d’échecs pour chatbots. L’occasion de montrer tout le chemin encore à parcourir pour ces machines qui, aux dires des géants de la tech, peuvent prétendre un jour à devenir des intelligences artificielles générales.
Shanghai (AFP) – Capables de servir de la bière, jouer au mah-jong ou boxer, des dizaines de robots humanoïdes présentés ce week-end lors d'une conférence mondiale sur l'intelligence artificielle à Shanghai reflètent les ambitions élevées de la Chine en matière d'IA.
Elon Musk s'est attiré encore une fois les foudres des internautes après la publication de messages à caractère antisémite et faisant l'apologie d'Adolf Hitler par Grok, l'assistant IA du réseau social X. Même si ces réponses ont depuis été supprimées, les utilisateurs de X s'inquiètent de ces controverses à répétition et de cette désinformation permanente.
L’escalade des hostilités entre Israël et l’Iran a entraîné une diffusion sans précédent d’images générées par intelligence artificielle sur les réseaux sociaux.
Malgré la frénésie et la fierté devant la montée en puissance de la plateforme d’intelligence artificielle, des utilisateurs chinois en dénoncent les errements et la censure.
Une juge californienne a estimé mardi que le patron de Tesla, SpaceX, X et xAI (start-up rivale d'OpenAI) n'a pas apporté de « preuves suffisantes » justifiant sa demande d'interdire à la start-up californienne, créatrice de ChatGPT, de se convertir en entité à but lucratif.
Le qualificatif d'IA « open source » est sur toutes les lèvres, mais demeure très débattu dans la communauté. D'immenses enjeux financiers et concurrentiels sont sur le tapis.